*Croise les doigts pour ne pas devenir barbante et gonflante.*
Alors, la petite Lo est effectivement l'héroïne du roman de Vladimir Nabokov, dont le narrateur, Humbert Humbert nous parle de son amour pour sa Lolita de façon extrêmement poétique, sensuelle, mais également très malsaine. C'est normal, étant donné que cet amour en lui-même est malsain. Il ne sera pur qu'à la fin.
Le film de Kubrick de 1962 (

:( ) essaie (je dis bien essaie) de retracer le roman.
Le film d'Adrian Lyne, de 1998, avec Dominique Swain et mon Jeremy Irons adoré (j'aurais bien remplacé Dominique Swain, moi), a beaucoup mieux repris le roman. Entre parenthèses, le roman enregistré sur cassettes en anglais (c'est sur ça que je bosse) est lu par Jeremy. C'est un régal. :D
Sinon, mon mémoire porte sur la comparaison entre le roman et le scénario du film de 1998.
T'inquiète pas, Kiara, je pense qu'il y en a plein qui ne connaissent pas vraiment. Le diable commence à connaître: ça fait un mois que je le gonfle avec la petite allumeuse.
A part ça, je n'aime pas trop dire d'où je suis sur les forums, mais si tu veux vraiment le savoir, je peux te l'envoyer par mp. Mais tule dis à personne: c'est moi qui décide à qui je le dis.

Tenshi m'a piqué la phrase qui me résume pour en faire sa signature, mais c'est lui le plagiaire, donc je la reprends, ;-) :
"C'était les choses les plus compliquées qui m'attiraient. Elles m'attiraient parce que j'étais moi-même la chose la plus compliquée, la complication étant
moi-même." [Jean-Jacques Langendorf, "La nuit tombe, Dieu regarde", éditions Zoé, 2000.]