Mdr pour l'arnaque intellectuelle, B*B. Tu n'as pas tort dans le sens où, effectivement, ils interprêtent comme ça et pas autrement. A la fac, c'est plus souple. Le/la prof dit son truc, mais si ce qu'on dit se tient, il/elle est d'accord... Bon, moi, au lycée, j'avais pas de sales notes en français...
J'ai pas lu "Le contrat social". J'ai été traumatisée par "Les confessions". Ce qu'on reproche à Rousseau? Ben, déjà, rien que le texte du ruban volé... Lis-le... Après, c'est que, perso, je le trouvais rasoire et je n'adhérais pas du tout à ses idées. Son principal truc, c'était qu'il fallait revenir à la nature. La nature, la campagne, c'est bien, et la ville et la civilisation, ça pervertit les esprits. Voltaire s'était même moqué de lui en lui demandant s'il voulait que tout le monde marche à quatre pattes.
Et puis, il paraît que ce s***** a eu des enfants qu'il a refusé de reconnaître et qu'il a abandonnés. Bon, il a dû y avoir équivalence commises par d'autres, mais ça, on ne nous le dit pas, au lycée à propos de JJR. C'est un peu/bbeaucoup hypocrite.
Sinon, je dois avoir d'autres griefs dont je me souviendrais si je relisais "Les confessions"...
Tenshi m'a piqué la phrase qui me résume pour en faire sa signature, mais c'est lui le plagiaire, donc je la reprends, ;-) :
"C'était les choses les plus compliquées qui m'attiraient. Elles m'attiraient parce que j'étais moi-même la chose la plus compliquée, la complication étant
moi-même." [Jean-Jacques Langendorf, "La nuit tombe, Dieu regarde", éditions Zoé, 2000.]