Bon, c'est parti. Ne m'en veuillez pas trop si j'ai perdu mon fluide,

.
Kiara, tu rêves d'exotisme? Les mots "Kangourou", "café" et "voyage= suggèrent que tu aurais envie de partir loin. Ca peut aussi être un contrast avec ta situation d'expatriée: tu rêves de pays chauds, parce que tu es dans un pays froid, pluvieux et brumeux. Et puis, le genre de voyage évoqué par ces mots est un voyage qui suggèrent les vacances. Il te tarde les vacances. Euh... "café" prend un sens exotique parce qu'il est associé avec les deux autres mots.
"Crayon", ça évoque l'écriture, le travail. Si on l'associe avec "racine", ça montre que tu écris beaucoup à l'ordi et que tu voudrais t'en détacher et revenir au bon vieux stylo. En fait, ce n'est pas vraiment pour revenir au stylo, c'est peut-être pour faire moins d'internet.
"Racine" va aussi avec "lumière", "chat", et "herbe". Tu n'aurais pas envie de faire un pique nique par beau temps, en ce moment? "Lumière" dans ce cas, évoquerait le soleil, "herbe" et "racine", la nature. L'idée du pique nique avec des amis est renforcée par "guitare" et "yaourt". Dans une petite fête entre amis, il y en a toujours un qui gratte un peu. Et le yaourt, c'est le dessert simple que tu emmènes à une fête comme ça.
"Lumière" peut aussi évoquer la solution d'un problème que tu cherches et que tu ne vas pas tarder à découvrir.
Globalement, tu as envie de vacances et de fête. Tu voudrais t'amuser.
Sinon, le café et le yaourt peuvent aussi vouloir dire qu'en Angleterre, tu n'as trouvé que des erzats de ces produits, et que ça commence à t'énerver sérieusement!
Bon, avant de me ridiculiser avec les mots de Blacky, je vais voir ce que va penser Kiara de mon analyse. Si c'est vraiment tout faux, je vais me reconvertir. *Cherche dans quoi elle pourrait se reconvertir.*

Tenshi m'a piqué la phrase qui me résume pour en faire sa signature, mais c'est lui le plagiaire, donc je la reprends, ;-) :
"C'était les choses les plus compliquées qui m'attiraient. Elles m'attiraient parce que j'étais moi-même la chose la plus compliquée, la complication étant
moi-même." [Jean-Jacques Langendorf, "La nuit tombe, Dieu regarde", éditions Zoé, 2000.]