Textes Tristes

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Message par lafka_6 » Lun 12 Juin 2006, 00:05

Je ne sais pas vraiment si ça peut rentrer dans la catégorie "Textes tristes", puisqu'il n'y a pas d'histoire à proprement parler, mais bon je le mets quand mm...
Il y a quelques mots qui ne passeront peut-être pas la censure, désolée à l'avance...

Errer dans la vie comme une âme en peine, sans but défini... Se contenter d'encaisser les coups, en essayant de rester debout, malgré tout. Voir les autres souffrir, souffrir soi-même, et n'y rien pouvoir, pour personne... Et puis, discuter, lire, et constater qu'au final certains ont un but, d'autres pas, mais personne n'est vraiment heureux.
"Le bonheur est une illusion d'optique, deux mirroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en a pas." Et voilà tout est dit, on envie le bonheur des autres, mais ce n'est qu'un masque, une impression qu'ils renvoient, car eux aussi envient le soi-disant bonheur de quelqu'un d'autre, et ce à l'infini. Un enchaînement sans fin...
J'aimerais parfois appliquer les idées de Montaigne "La préméditation de la mort est préméditation de la liberté. Qui a appris à mourir, il a désappris à servir. Le savoir mourir nous affranchit de toute sujétion et contrainte. Il n'y a rien de mal en la vie pour celui qui a bien compris que la privation de la vie n'est pas mal. " Malheureusement, ça ne me donne qu'une envie: en finir. Car si la mort est la liberté, je la veux et tout de suite, je me sens plus prisonnière aujourd'hui que si je portais des chaînes. La vie est une prison en soi, prison dont on peut s'évader mais derrière les murs de laquelle il n'y a rien.
"Etre ou ne pas être" se demandais Hamlet. Foutue question, aussi vieille que le Monde... Et plus j'y pense, et plus j'en crève, et plus j'ai envie de crever. Putain de nature à la con, qui a donné à l'Homme l'intelligence et la Raison, la faculté d'analyser. Et oui, la vie n'est bonne que pour les débiles, ceux qui ne peuvent pas se rendre compte du contraire...
Mais moi, je suis lucide, c'est bien ça le drame. Et cette saleté de question: "A quoi bon?"
"La seule erreur innée est celle qui consiste à croire que nous existons pour être heureux". Quelle présomption. Ou peut-être que c'est ça, le but suprême de l'humanité, celui qu'elle se fixe pour supporter la vie...
Je ne suis pas heureuse, alors même que je ne suis pas malheureuse. Je suis indifférente, et c'est peut-être ça le pire. Vivre la vie comme une spectatrice, qui sait que de toute façon elle n'est pas faîte pour ça, et que tout s'arrêtera, un jour, plus ou moins tôt...
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Message par nitokris » Lun 12 Juin 2006, 11:08

tres bo texte et tres belle analyse lafka :calin:
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Message par lafka_6 » Lun 12 Juin 2006, 11:57

merci nito :calin:
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Message par Yu' » Lun 12 Juin 2006, 12:07

Si je mets "...", tu comprendras ?!
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Message par lafka_6 » Lun 12 Juin 2006, 12:10

oui

:calin:
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Message par Yu' » Lun 12 Juin 2006, 12:13

:calin:
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Message par Yu' » Jeu 15 Juin 2006, 17:44

C'est pas franchement triste et j'ai hésité à le mettre ...
ne juger pas trop durement
ça fait clichés à souhait :(


Etoile du soir, Espoir ?

D'abord, tu commences par rencontrer des adversaires plus faibles que toi.
Alors tu perces leurs défences.
Et tu frappes, tu frappes, tu frappes.
Gauche, droite, gauche, droite.
Tu frappes, tu frappes ...
Puis tu les laisses KO, sur le bord du chemin.

Mais, un jour, tu rencontres quelqu'un de plus fort que toi.
Et là, c'est lui qui perce ta défense.
Et qui frappe, qui frappe ...
Gauche, droite, gauche, droite.
Il frappe, il frappe ...
Et toi, tu prends les coups.
Tu serres les dents.
Puis tu tombes.

La vie, c'est comme la boxe ...
Tu te relèves pas, t'es mort.
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Message par lafka_6 » Jeu 15 Juin 2006, 17:47

pourquoi voudrais-tu qu'on juge sévèrement? j'aime bien moi :calin:
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Message par Yu' » Jeu 15 Juin 2006, 17:57

bah ...
c'était écrit sous le coup de jenesaisquelleémotion et ça me parait assez pathétique à la relecture :S
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Message par kaina » Jeu 15 Juin 2006, 18:00

Pas mal Yu... C'est pas un de mes préférés mais c'est pas mal :wink: :calin:

Lafka, j'avais pas encore lu ton dernier texte. Dure conclusion... Réaliste en fait... Quoi sire d'autre si ce n'est que notre existence tient à peu de choses sinon à rien... Sinon très beau texte à méditer :calin:
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Message par lafka_6 » Jeu 15 Juin 2006, 18:00

bah moi je trouve ça pathétique mais dans le bon sens du terme... :wink:
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Message par Yu' » Jeu 15 Juin 2006, 18:49

mdr
merci :calin:
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Message par lafka_6 » Jeu 15 Juin 2006, 18:53

ah désolée kaina, je n'avais pas vu ton message... Je te remercie, ça n'a pas été un texte très facile à écrire, je me demandais si le cheminement était clair ou pas...
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Message par Yu' » Dim 14 Jan 2007, 14:52

Moi, je ne le trouve pas triste, mais bon ...



Pour le velours de ses yeux.

A Johanne,


La jeune fille ferma les paupières, laissant les flocons humides fondrent sur sa peau pâle. Son visage était rougit par le froid et un étrange sourire hantait ses lèvres, comme un espoir.
Ses mains, recouvertes de gants troués émergeaient de son étrange manteau aux longs pans et elle serrait un paquet de longe entre ses doigts transis.
Elle s'était arrêtée au milieu de la route, grelottante. Un instant, elle avait laissé son regard se poser sur l'horizon immaculé puis elle s'était retournée. Au loin, les fantômes bruissants de la ville formaient la seule tâche sombre du paysage.
Où que se porte son regard, le blanc lui voilait les yeux.

Soudain, une goutte salée se posa dans sa bouche. Et ça n'était pas le goût de la neige ...
Sans prendre la peine d'essuyer ses larmes, l'ombre évanescente repris sa marche, buttant sur le sol inégal.
Elle ignorait ce qui lui restait de chemin à parcourir mais, en partant, elle s'était jurée de ne jamais abandonner. Surtout pour Elle ... Mais aussi un peu à cause de Lui.

L'avantage de la marche, c'est que cela permet à l'esprit de s'évader. Loin, très loin. Dans les champs d'or et de vermeil, illuminés par le soleil d'été. Elle se souvenait de chaque détail : la douceur de la brise, le lent balancement des coquelicots, la blondeur des blés ...
Et Son sourire ...

Elle soupira et leva les yeux avant de les rabaisser vivement au sol. Le vent et l'eau brûlaient ses prunelles de velours.
Bientôt, elle ne sut plus vraiment si elle pleurait à cause du chagrin ou du froid.
Ses pensées s'envolaient vers des jours meilleurs mais son corps restait prisonnier de ce monde de glace.

La fatigue se fit plus pressante, la douleur, obsédante.
Alors, finalement, la silhouette chétive s'arrêta pour de bon.
Un tronc mort dont la noirceur était blanchie par les bourrasques tendait ses branches effrayantes vers elle comme autant de bras désarticulés.
Incapable de faire un pas de plus, a nymphe diaphane se laissa tomber contre cet étrange compagnon d'infortune et enfouit sa frimousse gelée dans les linges humides.

Tout ce gâchis ... Pourquoi ?! Quelques mois de bonheur ? Des baisers volés ? La joie dans son c½ur ? Non, elle n'avait pas le droit de penser ça. Elle était là ...

Un étrange craquement se fit entendre.
Frissonnant, la jeune fille releva la tête. L'inquiétude et la peur faisaient comme une boule dans son ventre tandis qu'elle fixait le rideau aveuglant de neige et de vent.
Une lueur, les bruits d'un cheval. Qui venait de la ville !

Elle se redressa trop brusquement, un masque de peur figé sur son visage et chancela.
Ses vêtements, trop sombres, étaient le seul point noir de ce tapis blanc et elle se savait facilement repérable.

Mais où était la frontière ?! En quittant sa ville natale, elle pensait la rejoindre rapidement. Après tout, elle n'était qu'à quelques kilomètres ... Mais le temps et le froid l'avaient ralentie, lui ôtant tous points de repère par la même occasion.
De l'autre côté ... Les révolutionnaires, l'espoir d'un monde plus juste !

Elle courrait, à présent, sur ses jambes flageolantes qui la portaient à peine. Ses yeux, embués et sa tête, embrumée, la lançaient douloureusement et la faisait revenir en arrière, vers le soleil d'été ...

Soudain, son pied heurta une pierre et elle s'étala de tout son long, serrant le paquet de linge dans ses bras pour le protéger du choc.
Ce n'est qu'alors qu'elle entendit les cris.
« Madame ! Madame ! C'est de la folie ! Arrêtez-vous ! »

Elle tenta vainement de se redresser, retomba dans la boue grise, s'embourba dans l'eau et la glace.
Bientôt, il fut sur elle.
NON ! Ils ne La prendraient pas !
Se débattant vivement à coups de dents et d'ongles, elle parvint à lui échapper, rampa, sentit sa lourde main sur son épaule maigre.
Se retournant, elle se jeta sur lui, déchirant sa veste au passage.
Puis, elle s'arrêta net. Là, sur le torse légèrement velu, s'étalait un étrange tatouage. LA MARQUE !
Celle que les tous premiers révolutionnaires s'étaient choisit pour se reconnaître ...
Alors, s'abandonnant au sommeil, elle le laissa l'arracher à la gangue glacée.

L'homme lui enleva délicatement le tas de linge des bras puis la porta jusqu'au lit de camp de sa roulotte et ranima le feu.
Elle était si jeune ...
Dans sa folie, elle murmurait des phrases sans aucun sens.

C'était il y a un peu plus d'un an. Elle venait d'avoir 17 ans ...
Il faisait si beau ! Loin de la neige froide de l'hiver ...

Les soldats revenaient du combat, victorieux. Le bonheur, l'allégresse. Les gens étaient descendus dans les rues et criaient de joie.
Au milieu du tumulte, ce regard, ces yeux rieurs, d'un bleu magique. Le vent qui jouait dans ses mèches brunes rebelles.
Elle ne croyait pas aux coups de foudre. Mais aux coups de c½ur, si ...
Et ils s'étaient revus ...

Inconsciemment, la jeune fille sourit dans son sommeil, sous l'½il inquiet de son bienfaiteur.

Il l'avait charmée, elle avait succombé. Elle lui avait tout donné : sa vie, son c½ur, son âme, sa pureté, sa joie. Elle lui appartenait.
Le frôlement discret de Sa main sur les blés, sur le soyeux de sa robe, dans ses cheveux ...
Ce coquelicot qu'Il avait fixé dans sa chevelure claire, leurs sourires.

Puis la Révolution avait éclaté, de l'autre côté de la frontière, menée par une femme au courage invincible.
Du sang avait coulé, le prix à payer pour la Liberté.
Il était contre. Elle n'osait l'avouer, mais elle était pour.
Il était riche, un soldat haut gradé, n'ayant jamais manqué de rien. Elle, avait connu la misère et le malheur.
Comment en vouloir à ceux qui voulaient que, enfin, la justice triomphe ?!

Et ce fameux jour ...
Elle s'en souvenait toujours. Malgré l'envie d'oublier.
Son ventre rebondit, la nouvelle qu'elle avait enfin comprise, son bonheur.
Mais lui, avait un visage fermé.

NON ! Elle ne voulait plus en entendre parler. Elle bougea violemment dans le lit, recouverte de sueur et poussa quelques gémissements indistincts.

Et pourtant ... La voix atone résonnait encore à ses oreilles ...
« Je vais me marier, je te quitte. »
Sept mots. La fin d'une vie.

Et puis, quatre mois de souffrance indescriptible, de questions sans réponses, de doutes.
Et puis ... La délivrance ?
Elle avait fini par se décider. Son dernier espoir : la fuite !
Peut-être aurait-elle dû attendre que les beaux jours reviennent ...

Des pleurs la réveillèrent. L'homme bourru berçait l'enfant. SON enfant.
Avisant les yeux grands ouverts de sa protégée, le révolutionnaire s'accroupit près de la couche.
Tendant sa main d'une pâleur cadavérique, celle-ci caressa les boucles foncées de son enfant qui s'apaisa.

« Nous arrivons à la capitale. Les portes sont fermées pour la nuit mais nous entrerons demain. Vous êtes en sécurité. La Révolution est finie, une ère de paix s'est instaurée ... »

La jeune fille sourit. Il avait une vois profonde et douce, une voix berçante.
Il la contempla longuement alors que sa respiration se faisait de plus en plus sifflante.
Elle était si jeune. Mais la fatigue dans ses yeux montrait que son esprit était celui d'une trop vieille femme : las de vivre.

« Je ... »

Les mots restaient bloqués dans sa gorge, un poids sur son ventre rendait sa voix haletante.

« Elle ... »

La toux l'interrompit, les larmes coulaient.
Elle ne voulait pas l'abandonner, pas maintenant ! Elles étaient sauvées ! Sa propre chaire, son propre sang ...
Mais ... Elle n'en pouvait plus ! Elle s'en allait ...

« Elle s'appelle ... »

Un souffle, un soupir, un murmure. L'homme lui serra la main, attentif.

« Johanne. »

Elle ferma les yeux, épuisée.
L'homme se redressa et jeta un regard à l'enfant dans ses bras.
Johanne ... Un grand prénom ! Celui de la Libératrice.
Ce n'était pas un choix innocent et, sans savoir réellement pourquoi, il en comprenait l'importance pour la jeune mère.

Un grincement de gonds le sortit de sa torpeur.
Il n'était pas si vieux qu'il en avait l'air. Le destin lui donnait une famille à protéger ...
Il sortit. L'aube s'était levée, les Révolutionnaires ouvraient les protes de la Cité.

Il s'assit, serrant l'enfant chaudement emmitouflée dans ses bras.
Il ne le savait pas encore mais, à l'arrière de la roulotte, la jeune femme avait fini de se battre. En un ultime souffle, elle avait abandonné le combat.

Le cheval s'ébroua et entra d'un pas lent dans la ville, ses sabots résonnant sur les dalles de pierre.
Et, alors qu'il passait ces portes béantes, l'homme plongea ses yeux dans le regard de velours de la petite fille qui reflétaient comme un nouvel espoir.
« Si j'y vais, ce n'est pas pour mourir mais pour me prouver à moi même que je suis encore vivant. »
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Message par nitokris » Dim 14 Jan 2007, 16:19

ah si il est quand meme triste et tres bo... :cry2: :calin:
La tristesse vient de la solitude du coeur.

Montesquieu.
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