Rascialisme!!!

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Rascialisme!!!

Message par Aysuran » Lun 16 Juin 2003, 12:05

Je vous laisse un article, qui, je le pense, vous fera réagir....
Un peu long, mais bon...

" Ce que nous disent les mangas... par Pascal Lardellier, Le Monde
diplomatique


DRAGON-BALL Z, Fly, Sailor Moon, Akira... Ces personnages aux noms
poético-guerriers sont les nouveaux héros des jeunes de cinq à
vingt-cinq ans. Ces créatures sont des mangas (littéralement " images
dérisoires "), nouvelle dénomination des bandes dessinées et dessins
animés japonais. Dès la fin des années 70, leurs avant-courriers se
nommaient Goldorak, Captain Flam et Albator, chevaux de Troie de cette
culture japonaise qui déferle en force (1).

Depuis quelques mois, ils saturent l'espace médiatique. Le phénomène est
ancien au Japon. Depuis 1932, y existe une Association des auteurs de
mangas.

Les tirages atteignent des records incroyables : quinze volumes vendus
par habitant et par an ! Près de deux milliards d'exemplaires auraient
été écoulés dans l'archipel en 1995 (2). Shônen Jump, un pavé de six
cents pages, est édité chaque semaine à cinq millions d'exemplaires ! Et
des centaines de volumes sortent chaque mois, hâtivement imprimés en
noir et blanc sur du mauvais papier. Aussitôt lus, aussitôt jetés. Un
principe fonde la plupart des mangas : la simplicité, cultivée comme fin
en soi. Simplicité des techniques de réalisation, simplicité des
dessins, des scénarios, des personnages. Exemple éloquent : là où les
films de Walt Disney comptent vingt-cinq images par seconde, un manga
n'en utilise que cinq ou six... A partir d'un même dessin,
inlassablement réutilisé, la photocopieuse, le ralentissement du
défilement des images, les plans fixes, et les mouvements de caméra
prolongent le temps du récit... Ces dessins sont très peu animés. Mais
les économies de production sont substantielles. Exhibition délibérée de
la souffrance en aval, leur lecture est rendue extrêmement aisée :
dessins immenses, bulles de textes minimalistes ; dialogues réduits à
une suite d'injures, d'interjections, d'onomatopées ; déstructuration de
la mise en page (quel que soit l'ordre de lecture, de gauche à droite,
de bas en haut, toutes les cases se complètent et se répondent). Car il
faut savoir qu'au Japon, chaque épisode de mangas est fait pour pouvoir
être lu entre deux stations de métro...

La brutalité est le principal reproche qui leur est fait. La violence,
quasi omniprésente, est moteur de l'histoire, génératrice de l'action.
Les personnages sont " pris " dans un combat permanent. Sous couvert
d'un but moral et altruiste, des affrontements frontaux constituent la
trame principale. Ces confrontations prennent pour théâtre un monde
dévasté ou un terrain de volley- ball. Quand la violence n'est pas
directement physique, elle est psychologique.

Ainsi, ces récits présentent avec condescendance les humiliations subies
par les héros, telles des pertes d'objets ou de facultés les rendant
honteux, qui en font la risée du groupe. Et la finalité semble résider
dans l'exhibition délibérée de la souffrance : la sueur coule, les coups
s'échangent, les corps chutent, rythmés par des onomatopées de douleur
et les pictogrammes figurant des explosions. Le problème de cette
violence est qu'elle n'est pas parodiée, mais directe, froidement
réaliste, instillant dans la contemplation qu'on en propose une forme de
voyeurisme et de sadisme. En filigrane, on discerne une cruauté
délibérée ; il n'y a aucune dimension burlesque dans cette brutalité,
imposée comme punition ou épreuve physique et morale. Afin d'apaiser les
protestations des parents, l'une des sociétés qui diffuse des mangas en
France a créé une commission pour " filtrer " ses dessins animés et les
épurer, avant diffusion, des images les plus choquantes. C'est ainsi
que, sur une histoire de vingt-six minutes, on en garde dix-sept en
moyenne... Les mangas mettent en scène quelques personnages-types
prêtant rapidement à généralisation. Ces personnages stéréotypés se
caractérisent par une grande ambiguïté. On distingue difficilement s'il
s'agit d'enfants ou d'adultes, d'Asiatiques ou de Blancs, de garçons ou
de filles : ils semblent être androgynes. Le déni systématique des yeux
bridés est facilement explicable : cela permet d'exporter ces
productions vers d'immenses marchés, l'américain, déjà submergé, et
l'européen, sur le point d'être conquis. Le visage du personnage type
est réduit a minima, lisse, caractérisé par des traits estompés, et
surtout des yeux disproportionnés, immenses. Toujours ronds, encadrés de
très longs cheveux s'apparentant à des crinières léonines, ces visages
n'expriment que cinq sentiments: la stupéfaction, la fureur, la douleur,
la peur et une joie statique. Souvent une sueur d'angoisse et de
tourment perle sur les visages cramoisis, immobiles, dessinés ou filmés
en très gros plans. On s'attarde délibérément sur ces faces crispées,
convulsées. Mise en scène complaisante de la souffrance physique et
morale. Le style, étonnamment statique et syncopé, ainsi que le choix
des angles, obligent le spectateur ou le lecteur à un fréquent
face-à-face avec les personnages, dont on contemple la douleur, la
rancoeur ou l'ébahissement. L'intensité et la fixité des yeux sont
hypnotiques. Et les enfants sont happés par ces regards qui les fixent
en ricanant, et qui semblent vouloir les méduser comme jadis la
Gorgone... Il y a là un rapport oppressant. En cela, la lecture
compulsive des mangas semble instaurer le même rapport à l'objet que les
jeux vidéo (3). Cette accoutumance à la brutalité gratuite, à la
cruauté, à la souffrance données en spectacle a des conséquences
psychologiques et, à terme, sociales trop négligées. Une question
s'impose comme une évidence : pourquoi les mangas plaisent au public
européen ? Pourquoi une expression graphique aussi lointaine, des
histoires si simplistes et violentes, des personnages si peu attachants
ont-ils pu rencontrer des lecteurs, aussi rapidement et aussi
massivement ? Les " consommateurs de mangas " le sont-ils seulement de
manière passive, répondant uniquement aux injonctions médiatiques, et à
un martèlement publicitaire incantatoire?

En fait, la tonalité générale des mangas épouse les préoccupations et
l'imaginaire de cette fin de vingtième siècle. En cela, leur discours
dépasse le contexte asiatique, pour concerner aussi l'Occident : les
histoires sont emplies de nouvelles technologies, les personnages sont
dotés de pouvoirs surnaturels ; la technique martiale triomphe, se
posant comme le corollaire de la bravoure et de l'héroïsme, et réduisant
le courage seul et nu à de la stupidité. Or c'est sous l'égide d'une
mystique de la technologie et de son omnipotence que le Japon, suivant
en cela notre modèle, s'est construit depuis 1945. Les scénarios sont
fantastiques, prenant pour cadre d'autres dimensions, des espace-temps
mutants. Or cette science-fiction catastrophiste monte en puissance, à
mesure que la fin du millénaire se profile et qu'une autre crainte plane
: celle de la destruction de la planète et de l'humanité. Ce thème sert
précisément de toile de fond à nombre de mangas. La bande dessinée
traditionnelle laissait rarement la part belle aux femmes, les
personnages illustrant jusqu'à la caricature les valeurs viriles.
Coïncidant pour leur part avec l'émancipation du sexe dit faible, les
mangas mettent, en revanche, très souvent sur le devant de la scène des
personnages féminins. La blonde et sage Candy, manga avant la lettre,
avait séduit des millions de petites Européennes, il y a quinze ans. Les
innombrables héroïnes actuelles se sont engouffrées dans cette brèche,
proposant enfin aux adolescentes des idoles de papier à admirer. Le
style graphique et narratif assume son caractère déstructuré ; il
coïncide avec la logique des jeux vidéo, et surtout la nouvelle
dialectique télévisuelle qu'ont imposée la télécommande et le zapping.
Les mangas représentent le divertissement violent d'une époque violente,
comme un écho ou un signe des temps. Mais, pour la première fois, cette
brutalité s'assume, et ne se soutient pas d'un discours moraliste.
D'aucuns avancent même l'hypothèse d'une catharsis opérée par de telles
lectures : " La violence, si présente et parfois choquante dans les
mangas, est à peu près absente des rues de Tokyo ; puissamment
cathartiques, ces BD ont pour fonction de permettre le défoulement
collectif et d'empêcher le passage à l'acte. Elles purgent le pays des
pulsions qui pourraient en menacer l'ordre social (4). "

La ruée des éditeurs EN dépit de leurs faiblesses criardes, la diffusion
des mangas progresse ; toutes déclinaisons commerciales confondues, ils
gagnent de l'audience, de nouveaux publics, et un grand marché. Il est
inquiétant d'apprendre (les chiffres le prouvent) que les mangas ont
démodé en quelques mois les bandes dessinées françaises, et de savoir
que de grandes maisons d'édition arrêtent les collections de
dessinateurs européens pour ne plus " faire que du manga ". La vogue
nouvelle arrange ces éditeurs, constituant une manne inespérée qui leur
permet de réaliser des tirages et des ventes substantiels. Une voix,
celle de Mme Ségolène Royal, s'était élevée au début des années 90 pour
lancer une mise en garde. Dans Le Ras-le-bol des bébés zappeurs (5),
l'auteur s'inquiétait de la place prise par les dessins animés japonais
dans les programmes de télévision à destination des plus jeunes. Son
message ne fut pas entendu. Pourtant, les mangas diffusés en Europe
auprès des très jeunes enfants s'adressent en fait au Japon à des
adolescents de plus de quinze ans. Ce décalage, qui explique en partie
la violence contenue dans ces récits, ne fait pas reculer les
programmateurs. La facilité avec laquelle les mangas s'imposent tient
autant à leur pragmatisme qu'à la faiblesse de résistance qui leur est
opposée. Il n'est pas de combat culturel mineur qui mérite
l'indifférence ou la résignation. Les mangas devraient faire reprendre
conscience de cela. Sauf à hypothéquer, encore une fois, sous couvert de
logique économique, un pan supplémentaire du patrimoine culturel
européen. "

..................

rendez vous sur http://membres.lycos.fr/lafargue/mangas/manga.htm
, ou vous trouverez force commentaires and cie...
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Message par genron » Lun 16 Juin 2003, 12:33

toujours les memes choses qui sont mises en avant, ma réponse est toute prete :


http://www.insa2lyon.fr.st/feinte

Et je pourrais reprendre ses arguments un par un et les détruire mais je n'en ai pas le temps

et quand à la pub gratuite .............. no comment
l'administration ca te fait chier kan t'as besoin de rien
et ca te fait encore chier kan t'as besoin de quelque chose
©mon prof de phisik
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Message par blackghost » Lun 16 Juin 2003, 16:10

c con comme tout comme article

je le detruirai bien, mais je le ferai plus tard . la j ai une nuit courte a rattraper
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Message par Ben*Baker » Lun 16 Juin 2003, 16:25

Rrrraaaahhhhh !!! Encore un qui n'a rien compris mais dont la place qu'il occupe lui permet de dire n'importe quoi!!!

Je ne conseille pas de lire les journaux comme Libération, Elle, Le monde ou L'express : ce sont des journaux de merde, où les journalistes sont donneurs de leçons alors qu'ils ne sont que rarement objectifs dans leur propos (et c'est pourtant le B-A-BA du journaliste débutant).

Il y a quelques années de cela, j'avais vu un extrait d'article de L'express dans "Player One" (REP). En voici une phrase choc : "Qu'est-ce qui pousse cet étudiant attardé* à vénérer les gnomes japonais ?". Charmant...

Ce qui me fout en boule, c'est que ce sont toujours ceux qui s'y connaissent le moins qui en parlent le plus. Et de quelle façon! Notez aussi l'étrange faculté de ces journaleux à toujours trier ce qu'ils voient ou lisent : pas un mot sur la diversité des mangas, pas un seul avis d'un lecteur, rien.

Quant à Ségolène Royale, laissez moi rire! Je me demande ce qu'elle a bien pu lire dans sa vie hormis les bouquins du 16ème siècle...

Enfin, je dirais ceci : le papier des mangas n'est certes pas de la meilleure qualité, mais Le Monde c'est un peu cher comme PQ !

*(en tout cas, "l'étudiant attardé" en question a quand même eu la gentillesse de lui accorder une interview :x )

J'ai dit ! Image

PS : Aysuran, l'auteur de ce torchon n'a-t-il pas d'adresse e-mail où le joindre ? J'aimerai lui dire ma façon de penser.
Dernière édition par Ben*Baker le Dim 22 Juin 2003, 22:56, édité 1 fois.
Ben*Baker
 

Message par Aysuran » Lun 16 Juin 2003, 21:55

:cry:
Nan, j'ai pas l'addresse...
Si vous voulez connaitre les réactions qu'on eu d'autres foromiens, (invention persso ^_____^) allez sur celui de hptt://dreamfun.free.fr (je l'avais déjà posté.) Franchement, que ce truc circule sur le web pour que chacun sache qui est ce [censuré] de journaliste!!!!!!
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Message par Sylvebard » Mar 17 Juin 2003, 01:02

Or c'est sous l'égide d'une
mystique de la technologie et de son omnipotence que le Japon, suivant
en cela notre modèle, s'est construit depuis 1945. Les scénarios sont
fantastiques, prenant pour cadre d'autres dimensions, des espace-temps
mutants. Or cette science-fiction catastrophiste monte en puissance, à
mesure que la fin du millénaire se profile et qu'une autre crainte plane
: celle de la destruction de la planète et de l'humanité.

cé bizarre dès les années 50, les Japonais avaient déjà des film catastrophe prédisant un univers apoclyptique (Gozilla...) et pourtant on était loin de la fin du millénaire.
Ahhh.... mais que c'est-il passé au Japon de 1937 à 1945, 6 et 9 aout 1945, ça vous dit quelques choses... ça expliquerait peut-être leur fois dans la technologie mais en même temps leur effroi devant les possible méfaits de celle-ci.

Et je n'arrive toujours pas à comprendre le rapport fiction violente = destruction sociale de l'individu. Et pourtant la pire violence je ne l'ai jamais vu dans une fiction. Je n'ai jamais eu l'envi de vomir et de pleurer devant un film, par contre devant des images de camps de concentration oui toujours... Ou est la vrai violence... je ne dis pas qu'il ne faut pas parler d'histoire et d'actualité, seulement que le débat du danger de la violence dans les fictions à mes yeux n'a pas de valeur, encore faut-il que l'enfant est une bonne éducation à coté, il est tellement facile de se décharger sur la TV ou les BD.
Y a des colorants pas marrants
Du mazout dans les océans
Des trucs bizarres dans nos assiettes
Pauvre bifteck !
La petite Juliette et son Roméo
Tournent à poil dans les films pornos
Y a pas plus d'amour sur pellicule
Que d'fleurs sur le bitume
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Message par cobra2ka » Dim 07 Sep 2003, 14:20

oh que je ne connaissais pas ce vieux topic :oops:
Le problème de ce journaliste c'est qu'il généralise beaucoup trop.
Il ne parle pas de mauvais mangas mais il dit que tous les mangas sont mauvais.
Il dit que aussi qu'au japon,certain mangas était réservé à des jeunes de + 15 ans et qu'en france même les tous petits les voyaient mais là c'est une erreur des programmeurs européen.
Les type comme lui critique tout ce qui est nouveau et qui est étranger.
Les personnes comme lui ont tout d'abord acusser de perpétuer la violence le rock n'roll,la radio, ensuite la télé,le rap,le hard rock,les mangas,les jeux vidéo et internet.
Ils acussent toujours les choses nouveaux et oublient presque les autre produit ou loisir qui rendaient soi disant les jeune violent ou bête.
Ce journaliste doit savoir que dans le mangas il ya de tout, des DA gentil,cathy la petite fermière à part lorsqu'elle s'est fait fouetter :green: ,cremy, dans les Alpe avec Annette....,il ya des Da de baston ou d'aventure et aussi d'amour,le mangas ne se résume pas à un seul type de critère.
Et les Stroumpf,Astérix et compagnie ne rend pas plus intelligent que Tom sawyer,ken ou les cdz.
Heureusement qu'on a eu des histoires comme Rémi sans famille ou l'ile aux trésor,sans les jap, on allait se ramasser des Ours qui nous racontent des histoire ou belle et sebastien,je m'en fous des chapi chapo moi :green: .
Mais peut etre qu'il trouve aussi trop violent de raconter des histoire triste aux enfants comme "Rémi sans famille" ou "princesse sarah" et compagnie.
Mais il n'a pas compris que les enfants préfère des histoires bien raconté que d'apprendre à parler comme des stroumpf,par ex: "je vais aller stroumpfer",il faut arrêter de croire que les enfants veulent rester des bébé cadum toutes leurs enfances.
Ensuite c'est un peu trop facile de parler que des défaut de certain mangas et pas de leur qualité,ce n'est pas pour rien que les mangas ont trés bien marché dans le monde. Et s'il n'aime pas certaine culture des pays étranger c'est tant pis pour lui.
Si comme il dit les mangas a envahi l'europe et que les bd européen sont en baisse,il faut remettre en question les bd européen et pas ceux du Japon.
Purée les japonais savent bien raconter des dessin animés qui s'est même passé en europe ou aux states,ils savent bien mélanger leur histoire avec des évenement du passé ,parfois du passé europeen.
Moi je croyais même que Lady Oscar c'était français pareil pour rémi mais j'ai pas mis du temps à remarquer que ces dessins animés étaient un peu trop bien dessiné pour que ça soit français lorsque j'étais petit.
Et qu'il arrete de comparer des film cinéma animé de walt disney à des série télé japonais ou à des mangas parce que lorsque j'ai vu la série Aladin à la télé,ce n'était pas le même Aladin du cinéma.
Moi je connais pas un seul Da américain ou européen de la télé aussi bien dessiné que Lady Oscar.
Durant les années 80, les enfants demandaient un dessin animé de football et ce sont les Japonais qui ne connaissaient pas ce sport qui l'ont fait pour nous. :roll: et pour tous les pasionné de foot.
Vraiment merci les Jap :calin:
Il est parano ce journaliste,il voit de la confrontation violente même dans des compétition de volley ball, mais dans asterix,c'est de la violence gentille. :roll:

Et lorsque j'entend que les français censure des histoires comme l'histoire du père d'albator qui était un nazi, je comprend pourquoi les DA japonais sont toujours censuré de 5 à 10 minutes :roll:
Mais il est où la tolérance,un enfant serait pas choqué si le héros avait un père méchant! pfff alors un jeune français de 6 ans ne doit pas prendre ses vacances en Allemagne si je comprend bien :green:

La censure que tout le monde doit connaitre c'est lorsque Benjamin grille Lucile dans sa douche,il voit l'ombre chinoise de Lucile nue et il rougi,la 5 avait mis plusieur fois cette épisode sans que ça choque personne mais tf1 la censuré car la csa les prenait la tête.Au moins si la coupure était bien fait,elle était vraiment raté :green:
Et comment il détruisait la série CDZ,l'épisode ne durait que 15 minute,le scénario était incomphréhensible mais on le comprenait quand même car c'était la 5ème fois qu'on voyait cdz,les coupures étaient mal fait mais un moment donné il fallait supprimer le dessin animé au lieu de le faire souffrir comme ça. :green: OU le mettre tard le soir si la csa pensait que que les cdz était réservé aux adultes.
Pourquoi on ne censure pas la connerie?ça serait encore mieux comme ça
les article comme celui du journaliste antimangas n'allait pas passer sur les journaux et ni les teletobies à la télé :green:
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cobra2ka
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