Aller hop !, je vous raconte
Quand on arrive en ville, je lui dit
tu me plais beaucoup et rapidement je deviens son
supporter. Ensuite
tout va bien et je pars pour un
10 000 mètres sous des
couleurs d’automne, sans chercher à comprendre… Mais au détour d’un chemin en attendant
la réponse on découvre que
la porte est close et qu’elle dit
au revoir ,
ça ne vous regarde plus . J’ai l’impression de me trouver dans une
vidéo, « série noire » et
Le jour s’est levé avec cette dure réalité : en fin de compte
y a pas de bon numéro, c’est
la première fille de ma vie … Or ce
détournement qui me prend la
petite Angèle me fait découvrir qu’
aimer est plus fort que d’être aimé et que le
Dieu que c’est beau devient
Dieu que l’amour est triste…
A un ami qui me dit
viens danser, pour me changer les idées, je dis que je ne suis pas un
oiseau de nuit, et
ne parle pas de malheur , je sais ce que c’est. Il me répond
frappe avec ta tête,
tes pieds toucheront par terre … C’est comme ça les amis, ça veut
Sauver l’amour …
Tout
ces petits riens me font dire que je suis dans une
drôle de galaxie et même si je sais que
la vie ne m’apprend rien, même si
l’alcool n’y change rien cela ne rend
pas plus intelligent…
De même
Tous les cris les S.OS. ne peuvent rien y faire…Alors que je peux
lire un livre je deviens
vendeur de larmes sans états d’âmes et même si
je ne suis pas un héros il faut bien
vivre ou survivre …
En relisant ce texte, je découvre que
le français est une langue qui résonne …
Tous les titres des chansons utilisés sont de Daniel Balavoine...
A qui le tour ? Si possible avec les titres d'un même chanteur ou groupe ;-) Il peut aussi y avoir une analyse de ce qui est dit
(Y a t'il un psy dans la salle 8) )
"C'était les choses les plus compliquées qui m'attiraient. Elles m'attiraient parce que j'étais moi-même la chose la plus compliquée, la complication étant moi-même." [Jean-Jacques Langendorf, "La nuit tombe, Dieu regarde", éditions Zoé, 2000.]